France Dirigeants - Séminaires de formation pour le développement des dirigeants - Part 4 - Part 4
du pur jus d'expertise

L'ADN DE FRANCE DIRIGEANTS

Des séminaires et formations animés par des experts de haut niveau Des séminaires et formations animés par des experts de haut niveau
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Des séminaires au service d’une synergie économique locale Des séminaires au service d’une synergie économique locale
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La transversalité à la source de l’innovation La transversalité à la source de l’innovation
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Pour une ergonomie de la connaissance Pour une ergonomie de la connaissance
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France Dirigeants en chiffres France Dirigeants en chiffres
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L'anticipation des organisations

Joseph CECCATO

« Devenu ingénieur au moment où les ordinateurs faisaient leur entrée dans le monde de l’entreprise, j’ai été formé au double cursus de la gestion d’entreprise et de l’informatique. Entreprise et informatique, nous étions à l’aube d’un nouveau modèle organisationnel en France. Je réalisai alors que la plupart des dirigeants, qui engageaient l’avenir de leur entreprise avec cette révolution informatique, basaient leurs décisions sur un petit faisceau d’informations, de fait stratégiques, et souvent inadaptées. J’ai pris conscience qu’eux aussi avaient besoin d’informations vraiment stratégiques. J’ai créé alors France Dirigeants … »

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28 mars 2025

#14 – L’INFORMATION VIRALE

Le confinement était censé nous protéger des distractions superflues et nous permettre de nous adonner à nos passions ou nos projets personnels. Pourtant, titres d’articles et flashes info nous attirent encore plus qu’avant, sans parler du flux hystérique de vannes et d’émojis de nos proches, qui nous apportent certes un certain réconfort. Comment tout cela nous affecte-t-il ? En premier lieu, cela nous détourne de notre activité, imposée ou choisie. Mais les conséquences de ce déluge d’informations peuvent être plus insidieuses : le coronavirus ne menace pas seulement nos corps, il contamine aussi nos esprits. Notre technologie de l’information est aussi virale que la maladie dont elle se repaît. Alors, comment s’en sortir ? Ces dernières semaines, nombre d’articles ont fait appel aux stoïciens, et pour une bonne raison. Cette école philosophique a émergé en une autre époque tumultueuse, l’horizon culturel des Grecs ayant explosé à la suite des conquêtes d’Alexandre, les exposant eux aussi à une sorte de « surcharge informationnelle ». Elle se prolongea plus tard à Rome, exposée par l’esclave Épictète, cruellement traité par son maître, par Sénèque lequel affrontait la tyrannie de Néron, et influença enfin Marc-Aurèle, dont l’Empire était attaqué de toutes parts. Que disaient-ils donc ? Nous devons d’abord apprendre à distinguer ce qui dépend de nous et ce qui n’en dépend pas, explique Épictète dans ses Entretiens, et ensuite nous concentrer sur ce que nous pouvons contrôler. Cela pourrait nous servir de ligne directrice pour assimiler l’actualité. Une partie des informations qui nous parviennent nous aideront peut-être à nous préparer à l’avenir, ou nous inciter […]

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28 mars 2025

#13 – TOUS ÉGAUX FACE AU VIRUS ?

Beaucoup d’économistes dans le sillage de Thomas Piketty, ont mis en évidence la croissance des (grandes) inégalités depuis une trentaine d’années, celles qui opposent les 1% ou 0,1% au reste de la population. Pourtant, le sociologue François Dubet nous alerte sur les « petites inégalités » qui peuvent devenir insupportables. Car selon lui, il faut distinguer la perception des inégalités de leur réalité. Chaque société adhère plus ou moins à une philosophie de la justice sociale qui la conduit à percevoir certaines inégalités comme plus ou moins acceptables. Par exemple, les Américains sont moins scandalisés par les inégalités sociales, qui se creusent aux USA, que ne le sont les Scandinaves dans les pays du Nord, où elles sont moins marquées. On peut faire l’hypothèse que l’épreuve du confinement révèlera et modifiera la représentation des inégalités qu’on pouvait tenir pour allant de soi : celles liées au lieu et aux conditions matérielles du confinement, celles d’accès aux matériels de protection, à la maîtrise numérique… Pourtant, on peut affirmer que le Covid-19 est aveugle et démocratique. Il frappe tout le monde et oblige chacun à se protéger tout en protégeant les autres. Mais en même temps qu’il révèle des inégalités de conditions de vie, le confinement est un facteur de solidarité puisque la survie de chacun dépend des autres, y compris de ceux qui n’étaient guère visibles et valorisés. En tous les cas, l’universalité du risque et l’impératif de solidarité obligeront à s’interroger sur la justice des inégalités. Est-il juste qu’une aide-soignante, un routier, une caissière ou un livreur soient voués aux bas salaires et à la précarité quand on sait désormais que […]

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2 décembre 2024

Suis-je aussi ce que j’aurais pu être ?

Deux frères sont séparés à la naissance. Thibault, élevé dans une famille aisée, devient un chef d’orchestre renommé ; Jimmy, adopté par une famille modeste du nord de la France, joue du trombone dans une harmonie le dimanche. Le film En fanfare, d’Emmanuel Courcol, sorti en salles mercredi dernier, propose une expérience de pensée stimulante : si chacun avait eu au départ le destin de l’autre, que se serait-il passé ? La question est de savoir si Thibault (Benjamin Lavernhe) serait devenu comme Jimmy (Pierre Lottin), soit un ouvrier ch’ti un peu brut de décoffrage ; et inversement, si Jimmy serait devenu un chef d’orchestre coincé, s’il avait connu un autre sort. Ce film pose une question, plus existentielle et passionnante que celle du transfuge de classe, celle de l’identité en général. Chaque personnage se rend compte qu’il aurait pu devenir une tout autre personne, et s’en trouve bouleversé. “Suis-je aussi ce que j’aurais pu être ?” Cette question, à première vue absurde, est pour le moins déroutante. Le conditionnel passé du “j’aurais pu” signale que je ne suis pas autre chose que ce que je suis maintenant. Un élément ne s’est pas produit qui a fait que “ce que j’aurais pu être” n’est pas advenu. C’est le propre de ce que l’on appelle les raisonnements contrefactuels : on devise à partir d’une condition abstraite, et l’on en tire une conséquence logiquement vraie quoique non attestée dans les faits. Par exemple, “si j’avais appris à faire du bateau, j’aurais pu participer au Vendée Globe” : dans cette vision des choses, […]

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